lundi 28 novembre 2016

DISEAT : EFFACEZ VOTRE EXISTENCE SUR INTERNET EN UN CLIC

C’est probablement le rêve de tous les adeptes d’Edward Snowden : effacer toutes les données qu’ils ont eu le malheur de mettre en ligne, et ne plus être détectables sur la toile. Avant d’aller plus loin, sachez que ce n’est pas encore possible, mais que deux développeurs suédois ont fait un pas de plus dans le domaine en facilitant vos démarches.


Wille Dahlbo et Linus Unnebäck sont deux développeurs suédois ayant développé le service Diseat. Ce dernier est un outil, fonctionnement nativement sur votre ordinateur, sur lequel vous devez vous inscrire via votre adresse Google (Gmail si vous préférez). Pourquoi cette adresse spécifiquement ?

Et bien parce que le but premier de Diseat est de vous désinscrire de tous les services en ligne qui utilisent cette adresse. Cela signifie que si vous vous êtes inscrit sur Facebook, Twitter, Instagram, Skype et quantité de réseaux sociaux et autres services en lignes avec votre adresse @gmail.com, vous pourrez en un clic ne plus « exister » sur la toile.


Diseat, pas aussi si discret qu’il n’en a l’air


On garde les guillemets, car même si la communication de Diseat tourne beaucoup autour d’un retour à l’anonymat sur Internet, gardez à l’esprit que cela désactivera seulement vos comptes, mais ne supprimera pas les données que vous avez communiquées aux différents services que vous utilisiez. Ce que Facebook sait de vous, il le saura toujours, etc.

Autre mise en garde, les développeurs suédois prétendent que leur service respecte la vie privée en n’envoyant aucunes données personnelles à leurs créateurs, même si ce logiciel tourne nativement sur votre ordinateur. Or, en cas de souscription au service, vous devrez, comme d’habitude, accepter différentes conditions d’utilisation dont celle-ci : « deseat.me would like to: View your emails messages and settings » (Diseat.me voudrait : voir vos emails ainsi que vos paramètres [de messagerie] »). Ce qui est particulièrement intrusif.

Bref, on ne connaît pas tout à fait les intentions des deux développeurs, mais l’idée de simplifier les démarches quant à la suppression des dizaines et dizaines de comptes en ligne que l’on peut avoir est intéressante.

Sur le même ton, la fonctionnalité My Activity de Google propose depuis peu à tous les utilisateurs de contrôler en temps réel leurs activités en ligne (seulement sur les services du groupe ou des partenaires).

Source : http://fr.ubergizmo.com/2016/11/28/diseat-effacez-existence-internet.html

samedi 26 novembre 2016

Le ransomware Locky de retour sur Facebook

La firme de sécurité informatique « CheckPoint » a identifié un nouveau risque pour la sécurité de vos ordinateurs. Il se propage à travers l’application Messenger de Facebook.

Chaque jour semble annoncer son lot de nouvelles menaces informatiques. La dernière d’entre elles circule sur l’application Messenger qui sert à discuter avec vos amis Facebook. Des pirates s’en servent pour télécharger le ransomware « Locky » à travers une simple image. Méfiance donc. On vous explique comment repérer le danger.


Un fichier .svg

Un ami vous écrit. Il s’agit bien de lui, de son compte. Il vous envoie une image avec une extension en .svg. Surtout ne l’ouvrez pas. C’est le nouveau procédé utilisé par des pirates pour installer le ransomware (logiciel rançon) « Locky » sur votre ordinateur. La simple ouverture de ce fichier suffira à contaminer votre machine. Les fichiers .svg correspondent à des images vectorielles et sont donc plutôt rares. Cela devrait vous alerter.

Ce n’est pas la première fois que le virus « Locky » est diffusé de cette manière. Toutefois, dans sa première version, l’image vous renvoyait vers un lien. Une vidéo essayait alors de se lancer mais votre navigateur vous indiquait qu’il fallait télécharger un plugin. Celui-ci contenait « Locky ». Il semblerait que les pirates aient trouvé le moyen de l’intégrer directement dans une image.

Comment se protéger du ransomware Locky ?

Les « ransomware » vous demandent de payer une somme d’argent pour récupérer l’accès à votre ordinateur. « Tous les fichiers présents sur leur appareil personnel sont automatiquement chiffrés et ne peuvent être récupérés qu’après paiement de la rançon », explique CheckPoint, l’entreprise spécialiste de la sécurité à l’origine de la découverte.

Si vous avez seulement téléchargé l’image mais que vous ne l’avez pas ouverte, supprimez-là puis faites un scan de votre ordinateur avec votre antivirus. Selon l’entreprise de sécurité, le virus qui circule sur Facebook mais aussi LinkedIn serait responsable de 5% des attaques informatiques constatées à travers le monde en octobre.

Source : http://www.clubic.com/antivirus-securite-informatique/virus-hacker-piratage/malware-logiciel-malveillant/actualite-821010-ransomware-images-transmises-facebook.html

Microsoft ❤ Linux : un mariage de raison

Microsoft aura fini par officialiser son union avec Linux, roi des systèmes d'exploitation open source. Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point ? Dans le cas de ces deux géants du logiciel, on ne peut pas vraiment employer cet adage.

La semaine dernière, Microsoft a annoncé avoir rejoint la Linux Foundation, qui soutient le développement du célèbre système d’exploitation open-source et gratuit.


La firme de Redmond en est devenue un membre "Platinium", un titre de haute importance au sein de la fondation. Ainsi, John Gossman, un dirigeant de Microsoft et architecte en chef de l’équipe Azure, fait désormais partie du comité de direction de Linux.

"Microsoft poursuit ainsi le développement de sa stratégie d’ouverture au service des différentes communautés de développeurs dans un monde interopérable", expliquait le communiqué de la firme de Redmond. Du côté du Linux, Jim Zemlin, son directeur exécutif, déclarait que Microsoft était "le mieux placé pour collaborer avec la communauté autour de l’open source pour amener des expériences mobile et dans le cloud à plus de personnes".

À vrai dire, pour beaucoup de médias, la nouvelle a surtout résonné comme une bonne blague.

Et pourtant, même si Steve Ballmer, successeur de Bill Gates au poste de CEO, qualifiait il y a encore 15 ans Linux "de cancer", cette annonce ne fut pas si surprenante. Satya Nadella, arrivé à la tête de l’entreprise en février 2014, est très vite apparu comme bien moins réfractaire que son prédécesseur au logiciel libre. Pour Frédéric Aatz, directeur de la stratégie interopérabilité et open source chez Microsoft France, "cette ouverture est en réalité antérieure de plusieurs années à l’arrivée de Satya [Nadella]. Ce qui a vraiment accéléré les choses, c’est l’apparition du cloud".


"Ce qui a vraiment accéléré les choses, c’est l’apparition du cloud"


Effectivement, si l’ouverture de Microsoft au monde du "libre" est franche depuis 2014, comme l’a démontré la mise en place d’une formation permettant de décrocher une certification sur Linux ou encore l’intégration des équipes MS Open Technologies dans les bureaux de Redmond, dès le début des années 2010, Microsoft a tenté des rapprochements : en créant MS Open, justement, nouvelle structure totalement dédiée à l’open source, mais aussi en commençant à participer activement aux comités de standardisation.

Malgré toutes ces preuves d’amour données à Linux et l’open source, certaines voix sceptiques s’élèvent encore. Après tout, Microsoft fait toujours payer des licences aux fabricants Android et n’a pas pour autant arrêté de développer des programmes propriétaires, qui constituent encore la grande majorité de ses produits. "Mais qui peut vraiment se plaindre de l’interopérabilité ?", s’interroge Mathieu Nebra, fondateur de l’école de code en ligne OpenClassrooms et auteur d’un livre de formation sur Linux. "Évidemment que Microsoft y trouve des intérêts stratégiques, mais il ne faut pas oublier que c’est une grosse entreprise. En tous cas, moi, je ne vois aucun problème à cette alliance. Même s’il y a encore 5 ans, je n’aurais sûrement pas dit ça…"


La guerre du cloud

On imagine aisément qu’aujourd’hui, à l’heure où le système d’exploitation mobile Android fait tourner la quasi-totalité des smartphones dans le monde, il ne serait pas très mature de s’ériger en ennemi de l’open source. Mais que gagne vraiment Microsoft à endosser ce rôle de membre Platinum à la Linux Foundation ?

Une nouvelle image d’abord, plus respectueuses du vaste univers que représente désormais le logiciel libre, mais aussi un certain poids dans ce dernier. "Pour nous, cette prise de position importante chez Linux est aussi une manière symbolique de montrer qu’on a changé, et que l’on est surtout sérieux sur le sujet", rapporte Frédéric Aatz. "Le combat est derrière nous, la hache de guerre enterrée, et il est temps pour Microsoft d’apporter sa pierre à l’édifice open source."

Mais cette union officialisée n’est pas qu’emblématique. À l’heure actuelle, les infrastructures cloud de Google et d’Amazon reposent en grande partie sur Linux. Chez Microsoft, on rapporte que près d’un tiers des machines virtuelles provisionnées sur Azure – sa plateforme de service cloud – tournent sous Linux. Il faut surtout rappeler que le système d’exploitation libre est aussi intimement lié à l’une des plus grandes innovations de ces dernières années dans le monde du cloud : celle du container Docker, sorte de machine virtuelle légère qui repose sur des éléments Linux et qui a permis d’étendre la flexibilité et la portabilité d’exécution d'une application.

En bref, Linux a un bon temps d’avance dans la bataille du cloud. Et ça, Microsoft ne le sait que trop, lui qui a décidé de faire du fameux nuage l’un de ses meilleurs chevaux. Il s’agirait surtout cette fois de s’assurer une bonne place dans la compétition, et de ne pas reproduire les erreurs faites dans le secteur du mobile, avec Windows Phone… S’allier avec les meilleurs s’est justement souvent avéré être une stratégie gagnante. "Le fait d’intégrer le board, c’est aussi pour nous un moyen de monter d’un cran en matière d’influence. On va pouvoir fédérer autour de projets, tenter de les mener à bien, et réfléchir pour de bon avec tout le monde", conclut Frédéric Aatz.

Et pour Linux ?

Un nouveau visage, une nouvelle influence et surtout, une place au soleil : les avantages à tirer d’une telle alliance sont plutôt limpides pour le géant de Redmond. Mais pour Linux ? Pour Mathieu Nebra, les gains sont tout aussi palpables : "De l’argent, pas mal d’argent, du prestige et de la visibilité. Et ils ont raison de ne pas s’en priver."

Pour devenir membre Platinum, Microsoft a en effet dû s’acquitter de la somme de 500 000 dollars, comme l'ont déjà fait IBM, Intel ou Samsung. Et il est vrai qu'avec des représentants de cette trempe en son coeur, la Linux Foundation a forcément plus de chances de voir certaines de ses initiatives aboutir.

Mais après tout, quel mal y a-t-il aujourd'hui à se marier sous contrat ?

Source : http://mashable.france24.com/tech-business/20161126-microsoft-linux-foundation-mariage-raison

MICROSOFT PRÉPARE UNE NOUVELLE IDENTITÉ VISUELLE POUR WINDOWS

Microsoft nous réserve visiblement encore quelques surprises pour les mois et les années à venir. La firme travaillerait en effet depuis plusieurs mois sur une nouvelle identité visuelle sobrement baptisée Project Neon. Elle devrait être déployée sur les produits de la marque en fin d’année prochaine, avec la Redstone 3. C’est en tout cas ce que pensent les sources de Windows Central et de Numerama.


Microsoft a longtemps travaillé sur la même charte graphique. Puis, la firme a commencé à travailler sur une interface différente, une interface pensée à la fois pour le desktop et le mobile : Metro, rebaptisée ensuite Modern UI.

Introduite avec Windows 8, cette dernière a marqué une véritable rupture dans l’histoire de la firme. Les applications n’étaient effectivement plus représentées par des icônes, mais par des tuiles intelligentes capables d’afficher des informations.


De Metro à Microsoft Design Language 2


Les fenêtres n’avaient plus grand-chose à voir avec ce que nous connaissions non plus. Contrairement aux systèmes précédents, elles s’ouvraient directement en plein écran et elles pouvaient en plus communiquer entre elles. Stupéfiants. Et que dire du menu démarrer, remplacé par cet écran d’accueil formant une gigantesque mosaïque composée de dizaines de tuiles animées ?

Non, c’est certain, Metro a surpris beaucoup de monde et il a aussi été vivement critiqué par la presse spécialisée et par les utilisateurs.

Face à la situation, Microsoft a apporté quelques ajustements à son interface avec Windows 8.1 avant de tout chambouler pour Windows 10. La firme a même au point une nouvelle identité visuelle pour ce dernier, la fameuse MDL2 ou Microsoft Design Language 2. Une identité située à mi-chemin entre Metro et l’interface traditionnelle de Windows.

Mais le géant américain n’a visiblement pas l’intention d’en rester là. Selon les sources citées plus haut, il travaillerait en effet sur une toute nouvelle identité visuelle dont nous savons finalement peu de choses.

D’après les informations rapportées par nos confrères, le Project Neon serait en cours d’élaboration depuis un an environ et cette nouvelle identité se baserait sur des visuels « simples » et « propres » inspirés par le langage de conception introduit avec Windows 10.

Project Neon : des applications unifiées et plus d’effets ?


Ces fameuses sources évoquent aussi de nombreux changements sur les effets avec plus d’animations et plus de transitions. Microsoft se serait effectivement fixé pour objectif de rendre l’interface la plus fluide et agréable à utiliser possible.

Mais ce n’est pas tout, car Neon devrait aussi faire office de passerelle entre l’environnement de bureau et la réalité « holographique » si chère à la marque. Elle sera donc adaptée à nos ordinateurs de bureau, à nos smartphones, à nos machines hybrides et à nos casques de réalité virtuelle et/ou augmentée.

Cette nouvelle identité visuelle vise aussi l’uniformité au sein des applications en proposant aux développeurs des lignes directrices claires et cohérentes.

Je l’ai évoqué plus haut, mais cette nouvelle identité visuelle devrait être intégrée à la Redstone 3, attendue pour l’automne 2017. Les Windows Insiders devraient cependant en profiter avant le commun des mortels et il ne serait donc pas surprenant que Neon commence à se dévoiler entre le second et le troisième trimestre de l’année prochaine. Maintenant, et toujours selon les mêmes sources, la Redstone 4 devrait pousser le concept encore plus loin.

Source : http://www.fredzone.org/microsoft-prepare-une-nouvelle-identite-visuelle-pour-windows-030

mercredi 26 mars 2014

Et si Apple proposait iTunes sur Android ?



Au rayon des rumeurs pas si folles, en voilà une qui fait parler d’elle ses derniers jours sur la toile. Il s’agirait d’une adaptation sur le système de Google, Android, du magasin musical d’Apple, iTunes. Si l’idée peut paraître incongrue compte tenu du fait qu’il s’agit évidemment des deux concurrents majeurs sur le secteur de système d’exploitation mobile, plusieurs informations laissent à penser qu’un moins l’une des parties ne serait pas contre. Et aussi surprenant que cela puisse être, c’est Apple qui pourrait considérer sérieusement la question.

Autant sous l’ère Steve Jobs, Android était clairement perçu comme une menace à éradiquer, autant Tim Cook semble plus conciliant. Afin de continuer à faire augmenter sa bonne base d’utilisateur iTunes, une version Android du magasin pourrait être envisagée. Ce ne serait pas la première fois qu’Apple lorgnerait du côté des OS concurrents, puisque le système de bureau Windows profite depuis de nombreuses années déjà d’une déclinaison spécifique du logiciel iTunes.

Sur Android, on peut imaginer qu’une telle application laisserait accéder au catalogue d’iTunes et servirait, au passage, de lecteur musical. Apple a aujourd’hui fort à faire avec son magasin de musique en ligne, face à la concurrence de plus en plus féroce des plates-formes de streaming en ligne. Du coup, la piste du streaming pour développer l’activité d’iTunes serait également étudiée, sur la piste tracée par iTunes Radio.

Source : http://www.tomsguide.fr/actualite/itunes-android-apple,40818.html

Cisco investit 1 milliard de dollars dans le "Cloud"


L'équipementier en télécoms américain Cisco va investir plus d'un milliard de dollars sur les deux prochaines années pour se renforcer dans le domaine de l'informatique dématérialisée ("cloud"), a-t-il annoncé lundi.
Le groupe américain ambitionne notamment de créer, avec des partenaires, "le plus grand +intercloud+ du monde", un réseau rassemblant d'autres réseaux dématérialisés sur internet.



Cisco veut ainsi se positionner pour profiter du boom attendu des objets connectés à internet, dont il évalue le potentiel à 19.000 milliards de dollars sur les dix prochaines années.

Parmi les partenaires évoqués par Cisco figurent entre autres les groupes de télécoms australien Telstra et canadien Allstream, le spécialiste du "cloud" Canopy (dont le français Atos est le premier actionnaire), ou encore le groupe indien de services informatiques Wipro.

Source : AFP

MICROSOFT WORD : ALERTE DE SÉCURITÉ APRÈS UN SIGNALEMENT DE GOOGLE

Une faille de sécurité critique a été découverte au sein du logiciel de traitement de texte Word, appartenant à la suite de solutions bureautiques Office de Microsoft. Cette vulnérabilité pourrait permettre à des hackers de prendre le contrôle des machines de certains utilisateurs.



Le 24 mars, Microsoft a lancé une alerte de sécurité spécifique pour cette faille « zero-day » (terme employé lorsqu’elles sont découvertes mais non colmatées) car il semblerait que des pirates soient déjà en train de l’exploiter pour mener des attaques ciblées. Ces derniers seraient capables d’atteindre leurs objectifs lorsque le logiciel effectue une prévisualisation d’un document.

Pour mener leurs attaques, les hackers se serviraient donc de l’envoi de documents piégés au format RTF via des e-mails. Une menace d’autant plus importante que certaines versions d’Outlook (le client de messagerie de Microsoft) seraient aussi vulnérables.

Word : bloquer les fichiers RTF

Pour seule système de défense, Microsoft préconise actuellement de bloquer l’ouverture des fichiers RTF via Word. Une procédure qui peut être effectuée automatiquement par un petit patch correctif fourni par la firme. Pour les utilisateurs d’Outlook, la lecture des e-mails au format brut, et donc sans la mise en page exclusive aux documents RTF peut protéger les utilisateurs le temps qu’une solutions plus durable soit appliquée.

Microsoft doit se presser pour trouver cette solution, car de nombreuses versions Word sont concernées. Silicon.fr liste ainsi : Word 2003 SP3, Word 2007 SP3, Word 2010 SP1 ou SP2, Word 2013 et Word 2013 RT, mais aussi Word Viewer et Word for Mac 2011, ou encore les Word Automation Services pour SharePoint Server 2010 et 2013, ainsi que les Office Web Apps 2010 et 2013.

Or le support technique de Word 2003 cessera (tout comme celui de Windows XP) le 8 avril prochain.
Signalons que Microsoft remercie dans son mémo de sécurité la contribution de trois chercheurs de l’équipe de sécurité de Google qui ont remis un rapport sur cette faille RTF afin qu’elle soit colmatée. Comme quoi, on peut être concurrent et travailler en bonne intelligence.

Source : http://www.itespresso.fr/microsoft-word-alerte-securite-apres-signalement-google-74019.html